Quelle hantise pour les étudiants d’attaquer un job au risque de délaisser leurs études, pour finalement tout rater.
Quel est le bon compromis ?
En effet, vie étudiante ne rime pas forcément avec soirées, temps libre : c’est aussi un enjeu financier tendu, mais certainement formateur et source de maturité, qui a le mérite de responsabiliser les étudiants.
Dans les grandes villes, la plupart des employeurs sont conscients que le planning n’est pas évident pour tout le monde. Les heures de cours sont une chose, mais il ne faut pas oublier les périodes examens et leur temps de révision.
Le surmenage est en effet un fléau difficile à surmonter une fois provoqué, et le risque peut être de tout stopper, entraînant l’échec sur toute la ligne et pour l’année.
Les temps partiel souvent appréciés
Dans le cas où vos études vous conviennent, tant dans l’orientation que dans l’emploi du temps, il peut être opportuniste de se lancer prématurément dans un job en rapport avec la future carrière que vous visez.
On peut penser par exemple envisager un poste dans la restauration pour alimenter ses connaissances en management.
En effet, si vous avez l’âme d’un cuisinier ou si vous avez un penchant pour la gastronomie, n’hésitez pas et lancez-vous vers les restaurants qui recherchent beaucoup d’étudiants comme vous !
Les télécommunications font partie d’un secteur en forte évolution, et les sociétés sont avides de personnes nées de la génération Y.
Le monde professionnel peut parfois être bien éloigné de la formation relative que l’on suit. Le job étudiant peut ainsi aider, accompagner à prendre la bonne décision, celle qui sera la bonne pour l’avenir. La liste des métiers à pourvoir régulièrement dans les moyennes et grandes villes est longue : hôte(sse) de caisse, barman ou barmaid, serveur, inventoriste, baby-sitter …
De nombreux sites proposent des informations complètes sur les jobs étudiants, comme l’Afij, qui propose par ailleurs un espace d’offres : www.afij.org.